I visited Buenos Aires back in January 2020 (pre-pandemic!). As always with street art, please keep in mind that it is ever changing and ever evolving. So it is highly possible that some of the pieces from my photos may no longer exist, having been painted over or destroyed. Nonetheless, I love street art, and I have been on a few street art tours around the world. I still think fondly of my experience on a Street Art tour in Buenos Aires.

If you have been reading my blog for a while, you may remember that I wanted to celebrate my 30th birthday in Rio de Janeiro, Brazil. In planning that trip, I decided to add a visit to two of Argentina’s hot spots to the itinerary.

Buenos Aires is frequently called “one of the capitals of street art”. Understandably, I was very eager to see some interesting pieces while visiting. There are several walking tour options, and I picked one that worked with the very packed sightseeing schedule I had designed. The tour was with Buenos Aires Free Walks and cost around $10 per person (plus any additional tips at the end).

That afternoon, I took a taxi from the hotel in Puerto Madero. I was dropped off right at the meeting point, Plazoleta Julio Cortazar, in the middle of the popular Palermo neighborhood. With its general bohemian vibe, Palermo is famous for its rich cultural scene, with numerous galleries, museums, theaters, and festivals. There is also a vibrant dining, shopping and nightlife scene. Earlier that day, I had done a different tour that included the La Boca neighborhood, another very colorful neighborhood in Buenos Aires where there is also street art.

The tour started on time at 3pm. There were about 20 of us in total. Our tour guide was a sympathetic young woman who told us all about her connection to street art and the street artists of Buenos Aires. She gave us some background about the beginnings of the street art movement and how it was deeply intertwined with the city’s political history. She also promised to show us different techniques used by various artists along the way.

The tour truly did not disappoint. I loved how our guide was able to blend a history lesson in the tour. We got to learn about the difficulties of the 20th and 21st centuries in Buenos Aires, from political instability, to dictatorship, to the economic challenges Argentina has faced. Our guide also took us to to see some of the most popular murals in Palermo including “Graffiti Alley”. There was so much street art on this tour that it was impossible for our guide to talk about every piece. Some of the murals took over entire facades of buildings. Others were smaller and more discreet so she had to point them out.

I liked that our guide was passionate about street art. I could tell that she knew a lot about it, because she explained the different techniques expertly. There were people on the tour who had never done a street art tour before, and the guide was very patient with them. She explained that in Buenos Aires, unlike some other places, the city did not have to issue permits or approve of a mural. The artist could simply make an arrangement with the owner of the building or dwelling they wanted to paint. For abandoned buildings, it seems like anyone can just start a project, whether it be stencils, paste-ups or sticker art. It was interesting to hear how much the locals had embraced the freedom of expression that comes with street art. The tour ended around 90 minutes after it had started.

At the end of the street art tour, I remember wishing it did not have to end so quickly. I had been absorbing so much art and history, and I was feeling very inspired. I truly want to return to Buenos Aires for another street art tour. Especially with the Argentinean men’s soccer team’s recent major tournament victories (from the World Cup to the Copa America), I know some great recent murals and street art were created to celebrate. And I am eager to see them in person.

It was all so colorful / Tellement de couleurs partout

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J’ai visité Buenos Aires en janvier 2020 (avant la pandémie !). Comme toujours avec le street art, il faut garder à l’esprit qu’il est en constante évolution. Il est donc fort possible que certaines des pièces dans mes photos n’existent plus, après avoir été repeintes ou détruites. Néanmoins, j’adore le street art et j’ai participé à quelques visites guidées de street art à travers le monde. Je me souviens encore de mon expérience lors d’une visite de street art à Buenos Aires.

Si vous lisez mon blog depuis un certain temps, vous vous souviendrez peut-être que je voulais fêter mon 30e anniversaire à Rio de Janeiro, au Brésil. En planifiant ce voyage, j’avais décidé d’ajouter à l’itinéraire une visite de deux des points chauds de l’Argentine.

Buenos Aires est souvent appelée “l’une des capitales du street art”. Naturellement, j’étais très impatiente de voir des pièces intéressantes lors de ma visite. Il existe plusieurs options de visites à pied, et j’ai choisi une qui convenait au programme très chargé que j’avais planifié. La visite s’est déroulée avec Buenos Aires Free Walks et a coûté environ 10 dollars US par personne (en plus des pourboires à la fin).

Cet après-midi-là, j’ai pris un taxi depuis l’hôtel à Puerto Madero. Il m’a déposé juste au point de rendez-vous, la Plazoleta Julio Cortazar, au milieu du quartier populaire de Palermo. Avec son ambiance bohème, Palermo est célèbre pour sa riche scène culturelle, avec de nombreuses galeries, musées, théâtres et festivals. On y trouve également une scène gastronomique, des boutiques et une vie nocturne animées. Plus tôt dans la journée, j’avais fait une autre visite qui comprenait le quartier de La Boca, un autre quartier très coloré de Buenos Aires où l’on trouve également du street art.

La visite a commencé à l’heure prévue à 15 heures (3 heures de l’après-midi). Nous étions une vingtaine au total. Notre guide était une jeune femme sympathique qui nous a tout raconté sur son lien avec le street art et les artistes de rue de Buenos Aires. Elle nous a donné quelques informations sur les débuts du mouvement du street art et sur la façon dont c’était profondément lié à l’histoire politique de la ville. Elle a également promis de nous montrer différentes techniques utilisées par divers artistes tout au long du parcours.

La visite n’a vraiment pas déçu. J’ai adoré la façon dont notre guide a pu intégrer une leçon d’histoire à la visite. Nous avons pu en apprendre davantage sur les difficultés des 20e et 21e siècles à Buenos Aires, de l’instabilité politique à la dictature, en passant par les défis économiques auxquels l’Argentine a été confrontée. Notre guide nous a également emmenés voir certaines des peintures murales les plus populaires de Palerme, notamment “Graffiti Alley”. Il y avait tellement de street art lors de cette visite qu’il était impossible pour notre guide de parler de chaque œuvre. Certaines peintures murales occupaient des façades entières de bâtiments. D’autres étaient plus petites et plus discrètes, donc elle a dû les signaler.

J’ai aimé le fait que notre guide soit passionnée par le street art. Je pouvais voir qu’elle en savait beaucoup sur le sujet, car elle a expliqué les différentes techniques avec aisance. Il y avait des gens lors de la visite qui n’avaient jamais fait de visite de street art auparavant, et notre guide a été très patiente avec eux. Elle m’a expliqué qu’à Buenos Aires, contrairement à d’autres villes, le gouvernement municipal ne donne pas de permis pour approuver une fresque murale. L’artiste peut simplement s’arranger avec le propriétaire du bâtiment ou de la maison qu’il veut peindre. Pour les immeubles abandonnés, il semble que n’importe qui peut simplement entamer un projet, qu’il s’agisse de “stencils” (pochoirs), de collages ou d’autocollants. Il était intéressant d’entendre à quel point les habitants avaient adopté la liberté d’expression qui accompagne le street art. La visite guidée s’est terminée environ 90 minutes après avoir commencé.

À la fin de la visite du street art, je me souviens avoir souhaité qu’elle ne se termine pas si vite. J’avais absorbé tellement d’art et d’histoire, et je me sentais très inspirée. Je veux vraiment retourner à Buenos Aires pour une autre visite de street art. Je sais que, notamment avec les récentes victoires de l’équipe de football argentine masculine dans des tournois majeurs (de la Coupe du monde à la Copa America), de superbes fresques murales et autres formes d’art de la rue ont été récemment créés pour célébrer. Et j’ai hâte de les voir en personne.

Martin Ron is one of the most prolific Argentinian street artists, he specializes in large scale murals / Martin Ron est l’un des artistes argentins de street art les plus prolifiques, il se spécialise dans les peintures murales à grande échelle
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